Informations généralesStatut : Publié // Disponible Date de publication : Mars 2018 Type : Novella // Fantastique Auteur : Yuna Minhaï Dekebat Nombre de pages : 96 pages ISBN : 978-2-9548549-7-7 Pour chaque exemplaire vendu,
Blind Symphonia reverse 1€ à l'association |
Résumé
"Ce sont ses habitants qui façonnent une ville :
celle-ci se bâtit à leur image, évolue avec eux, avec leur énergie et leurs ressentis.
Tout est cristallisé dans l’asphalte.
La cité voit tout, sait tout, et elle se souvient."
Il n'y eut que le silence, ce jour-là.
Une soudaine vague de froid s'est abattue sur Atlanta et paralyse la ville.
Depuis, d’étranges battements retentissent dans la tête de Malek, musicien taciturne et réservé.
Ses émotions s’affolent, ses sens le trompent.
Se pourrait-il que l’univers ait un message pour lui ?
celle-ci se bâtit à leur image, évolue avec eux, avec leur énergie et leurs ressentis.
Tout est cristallisé dans l’asphalte.
La cité voit tout, sait tout, et elle se souvient."
Il n'y eut que le silence, ce jour-là.
Une soudaine vague de froid s'est abattue sur Atlanta et paralyse la ville.
Depuis, d’étranges battements retentissent dans la tête de Malek, musicien taciturne et réservé.
Ses émotions s’affolent, ses sens le trompent.
Se pourrait-il que l’univers ait un message pour lui ?
Voir aussi
Genèse du projet
Dans la vie, il y a des gens qui comptent, parfois plus que de raison, alors qu’on ne les connaît même pas : des artistes qui croisent un jour notre route, au détour d’une note de musique, d’une image, d’un éclat de voix, et qui ne la quittent plus jamais. Ils vibrent et résonnent parfois en nous sans que l’on comprenne pourquoi.
Mais ils sont là.
Inspiration, lueur dans l’obscurité, miroir de nos pensées... Ils deviennent peu à peu des étoiles dans notre ciel intérieur, qui nous guident lorsqu’on se perd en chemin. Chester Bennington et son groupe Linkin Park sont de ceux-là. Depuis près de vingt ans, leur musique m’accompagne au quotidien. Ce sont eux qui me poussent en avant, qui m’inspirent lorsque j’écris, qui m’aident à surmonter la page blanche et le doute, qui m’empêchent même de renoncer. Linkin Park, et bien d’autres, me donnent les couleurs, les sensations et les émotions nécessaires à la construction de mes histoires. J’ai semé des petits bouts d’eux un peu partout dans ma vie : dans mes illustrations, dans la bande son de Pandora Project, dans l’autoradio de Graham — le protagoniste de ma nouvelle Moontribe --, dans mes oreilles durant la conception de l’oracle d’Ishsaar, sur la bannière Facebook de Blind Symphonia à l’effigie d’Ensaï, dans l’obscurité des soirs de coups de blues, dans mes colères passées, dans mes peines et mes espoirs, dans les souvenirs partagés avec mes proches, et même dans mon futur roman.
Mais, d’un coup, tout s’arrête.
Une étoile — et pas des moindres — s’éteint soudain dans ma constellation intérieure. Chester disparaît, le 20 juillet 2017. Un véritable choc. Et la dure réalité apparaît : les artistes que l’on admire et qui, en un sens, ont participé à notre construction, à faire de nous ce que nous sommes aujourd’hui, ne sont pas éternels. Suite à cela, BEATS a débarqué comme une météorite dans ma vie, avec un besoin impérieux : celui d’écrire, d’extérioriser ce sentiment violent et douloureux et, surtout, de rendre hommage. À Chester, bien sûr, mais aussi à la Musique avec un grand «M», à celle qui m’accompagne au quotidien, car elle m’est aussi vitale que l’air que je respire. Je l’insuffle dans mes romans, parce qu’écrire ne me suffit pas, je la partage avec vous au quotidien, il m’arrive même d’en composer. Il ne se passe pas un jour sans qu’elle résonne dans ma maison.
Ca tourne en boucle, en tâche de fond. Toujours.
À mes yeux, les musiciens sont des alchimistes du son. Ils font de la magie avec des notes, ils transmettent des choses que nul autre média n’a la capacité de partager. Les émotions véhiculées par la musique sont intenses, vraies, profondes. Dans BEATS, il y a un peu de toute mon admiration, mon respect, mon amour inconditionnel et mon estime pour le Son et pour la magie que celui-ci est capable de transmettre, ainsi que pour tout ce que Chester Bennington et Linkin Park ont fait pour moi — et pour tant d’autres — sans le savoir. C’est ma façon à moi de leur dire merci pour tout, pour cette magie qui, mille fois, m’a portée si loin.
Mais ils sont là.
Inspiration, lueur dans l’obscurité, miroir de nos pensées... Ils deviennent peu à peu des étoiles dans notre ciel intérieur, qui nous guident lorsqu’on se perd en chemin. Chester Bennington et son groupe Linkin Park sont de ceux-là. Depuis près de vingt ans, leur musique m’accompagne au quotidien. Ce sont eux qui me poussent en avant, qui m’inspirent lorsque j’écris, qui m’aident à surmonter la page blanche et le doute, qui m’empêchent même de renoncer. Linkin Park, et bien d’autres, me donnent les couleurs, les sensations et les émotions nécessaires à la construction de mes histoires. J’ai semé des petits bouts d’eux un peu partout dans ma vie : dans mes illustrations, dans la bande son de Pandora Project, dans l’autoradio de Graham — le protagoniste de ma nouvelle Moontribe --, dans mes oreilles durant la conception de l’oracle d’Ishsaar, sur la bannière Facebook de Blind Symphonia à l’effigie d’Ensaï, dans l’obscurité des soirs de coups de blues, dans mes colères passées, dans mes peines et mes espoirs, dans les souvenirs partagés avec mes proches, et même dans mon futur roman.
Mais, d’un coup, tout s’arrête.
Une étoile — et pas des moindres — s’éteint soudain dans ma constellation intérieure. Chester disparaît, le 20 juillet 2017. Un véritable choc. Et la dure réalité apparaît : les artistes que l’on admire et qui, en un sens, ont participé à notre construction, à faire de nous ce que nous sommes aujourd’hui, ne sont pas éternels. Suite à cela, BEATS a débarqué comme une météorite dans ma vie, avec un besoin impérieux : celui d’écrire, d’extérioriser ce sentiment violent et douloureux et, surtout, de rendre hommage. À Chester, bien sûr, mais aussi à la Musique avec un grand «M», à celle qui m’accompagne au quotidien, car elle m’est aussi vitale que l’air que je respire. Je l’insuffle dans mes romans, parce qu’écrire ne me suffit pas, je la partage avec vous au quotidien, il m’arrive même d’en composer. Il ne se passe pas un jour sans qu’elle résonne dans ma maison.
Ca tourne en boucle, en tâche de fond. Toujours.
À mes yeux, les musiciens sont des alchimistes du son. Ils font de la magie avec des notes, ils transmettent des choses que nul autre média n’a la capacité de partager. Les émotions véhiculées par la musique sont intenses, vraies, profondes. Dans BEATS, il y a un peu de toute mon admiration, mon respect, mon amour inconditionnel et mon estime pour le Son et pour la magie que celui-ci est capable de transmettre, ainsi que pour tout ce que Chester Bennington et Linkin Park ont fait pour moi — et pour tant d’autres — sans le savoir. C’est ma façon à moi de leur dire merci pour tout, pour cette magie qui, mille fois, m’a portée si loin.
Publication
À la base, BEATS était destiné à intégrer mon prochain recueil, le Liber eX Pandora, composé essentiellement de nouvelles sur l'univers de Pandora Project. Mais celle-ci aurait été un ovni au milieu des autres, et n'aurait pas vraiment été à sa place. Plus le projet avançait — et plus il devenait important pour moi — plus je trouvais frustrante l'idée qu'il ne s'agisse que d'une nouvelle de plus, posée là comme un cheveu sur la soupe. Et, finalement, il y a quelques jours, j'ai pris une décision qui me paraît maintenant tellement logique et évidente que je ne sais pas pourquoi je n'y ai pas pensé plus tôt : je vais publier BEATS de manière indépendante ! Un nouveau livre imprévu, certes, mais pas juste pour enrichir ma production littéraire...
En 2005, suite au tsunami qui a secoué l’océan Indien, Linkin Park a fondé Music for Relief, une association caritative réunissant musiciens, professionnels de l’industrie musicale et fans, dont le but est d’apporter son aide aux survivants de catastrophes naturelles et d’œuvrer en faveur de la protection de l’environnement par le biais, entre autres, de concerts et de ventes d’albums au profit des victimes. Ils ont notamment levé des fonds pour aider les rescapés de l’ouragan Katrina, de tremblements de terre en Chine, en Haïti, au Japon et au Népal, ou encore d’une épidémie de choléra au Zimbabwe. Music for Relief a également facilité la plantation de plus de 1,3 million d’arbres pour lutter contre le réchauffement climatique.
Longtemps, je me suis demandé de quelle manière je pouvais apporter ma pierre à cet édifice, et comment tirer parti de ce que je savais faire pour, à mon tour, participer activement à cette initiative. Je ne suis ni musicienne ni professionnelle de l’industrie, mais la musique représente énormément à mes yeux. En revanche, j’écris avec passion, je raconte des histoires avec mon cœur et immortalise des sensations sous ma plume. La publication papier de BEATS était l'occasion de réunir mes deux amours, la musique et l’écriture. Grâce à cela, j’ai, par la même occasion, enfin trouvé ma façon de contribuer à ma modeste échelle.
En prenant la décision de publier cette novella, je me suis engagée à reverser 1€ de mes bénéfices sur la vente de chaque exemplaire de BEATS, papier et numérique, à Music for Relief. Une façon pour moi de renvoyer l’ascenseur au monde, et à ceux dont la musique a fait de moi ce que je suis aujourd’hui. La boucle est bouclée.
C'est la raison pour laquelle la publication web de ce texte ne sera qu'éphémère. Il sera bel et bien publié sur Wattpad, tel que je l'avais promis, à raison d'un chapitre par semaine, mais disparaîtra ensuite au bout de quelques temps pour laisser place à l'édition papier.
Informations et liens
Label d'édition indépendant spécialisé dans la littérature fantastique et les obsessions de son auteure, quelque part entre les dunes d'un désert infini et les ombres d'une cité en ruines.
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